Edito Février 2009

11/03/2009

Os-Marsillon a subi, en une année, trois évènements météorologiques difficiles, les inondations du 12 juin 2008 et du 11 et 12 février 2009, ainsi que la tempête du 24 janvier 2009.

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Heureusement ces trois évènements n’ont eu que des conséquences matérielles, et nous pouvons nous en réjouir.

Au cours des ces phases  pu apprécier la solidarité spontanée de la population, disponible immédiatement et tard le soir, voire la nuit, pour aider, réconforter, mettre en sécurité les habitations menacées. Merci à tous de cet élan généreux.

 

 

En cas de crise nous ne pouvons que constater qu’il nous faut nous prendre en main car les aides, les secours seront appelés de partout et devront établir des priorités.

Nous devons également en tirer les leçons afin de mieux anticiper et de mieux gérer la prochaine fois… car il y a toujours une prochaine fois !

Nous devons également nous battre pour mettre en œuvre les actions de protection qui nous permettront, en particulier, à limiter les montées des eaux de la Baïse en cas de pluies torrentielles.

 Depuis fin janvier le Bassin de Lacq a vécu dans l’angoisse de l’annonce de la décision de CELANESE concernant l’usine de Pardies.

Sans revenir sur les causes, réelles ou d’opportunité, de cette décision, nous pensons à ces femmes et ces hommes qui ont fait les beaux jours de l’usine de Pardies et qui se voient contraints, de prendre leur retraite pour certains, de chercher un emploi pour d’autres.

Et dans le contexte de morosité actuelle, on comprend toute l’inquiétude qui est la leur.

Essayons, chacun à notre niveau, de leur donner un peu de chaleur, de la sympathie, du soutien dans ces moments difficiles.

Cet éditorial un peu sombre, à l’image des giboulées de mars, ne doit pas nous faire oublier que le printemps arrive le 21 Mars, et que, quoi qu’on fasse, après la pluie vient toujours le soleil.

 

 

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